Paris, la nuit

mardi 27 avril 2010

Payer l'addition... comment faire!

Voici le sketch de Muriel Robin que nous avons vu en cours (3 premières minutes, mais le reste vaut la peine).

Le débit est... rapide, accrochez-vous! :-)))

Ana

lundi 26 avril 2010

Notre histoire à la radio

Bonjour à tous!
Avez-vous écouté l’histoire qu’on a enregistrée l’autre jour? Voici le lien pour y accéder:
http://raibabel.wordpress.com/2010/04/23/23-avril-notre-histoire/
a+
Irantzu

jeudi 22 avril 2010

El' Pétit Prince (version Ch'ti)

C’est trop cool!! Je viens d’apprendre que le Petit Prince a été traduit en ch’ti !! C'est une personne de Tournai (Nord-59) qui l'a fait, mdr !! ;-) C’est fou !!

Voici des quelques fragments du livre :

En ch’ti :
« On n’ veot bin foqu’avec es’ cœur,
Ç’ qui keompte vraimint, on ne l’ veot pos avec sés yeux. »

En français :
« On ne voit bien qu’avec le cœur,
L’essentiel est invisible pour les yeux. »


En ch’ti :
« Ch’ést l’ temps qu’ t’as perdu avé t’ rosse
qui fait que t’ rosse elle ést importante ainsin. »

En français :
« C'est le temps que tu as perdu pour ta rose,
qui fait ta rose si importante... »


Irantzu

mercredi 21 avril 2010

NOTRE POÈME


Vu que le monde n’est pas encore prêt pour mon art (oui, je suis un génie incompris :-P), j’ai décidé de céder à la pression populaire, changer la fin de notre poème et en faire une autre digne d’un drame made in Hollywood. J’espère que celle-ci vous plaira plus que l’autre, parce que c’est ma dernière offre! ;-)

Voici le poème complet:



Ana: Il la regarda
Silvia: et en faible voix
Silvia: il chuchota:
Silvia: Si elle était à moi...
Irantzu: Mais malheureusement,
Irantzu: elle ne le regarda même pas
Irantzu: elle continua à boire son chocolat chaud
Irantzu: et à taper sur son ordinateur portable
Irantzu: comme s'il n'y avait personne d'autre dans le bar
Irantzu: Mais tout à coup son classeur tomba
Irantzu: et tous ses documents s'éparpillèrent par terre
Irantzu: Alors je me levai et je m'approchai d'elle
Ana Li Lou: un sourire aux lèvres, un regard perçant
Ana Li Lou: tout en l'aidant à ramasser ses affaires.
Ana Li Lou: J'osai à peine lui dire un mot
Irantzu: Mais elle me regarda droit dans les yeux et me lança un magnifique sourire
Irantzu: "Je vous remercie" me dit-elle
Irantzu: Puis elle éteignit son PC et quitta le bar
Irantzu: Sur la table elle avait oublié son téléphone portable
Irantzu: Je le pris et courus après elle,
Irantzu: mais malheureusement elle n'était plus là
Irantzu: Elle avait peut être pris le métro, elle était peut être montée dans une voiture
Irantzu: ou elle était, peut être, entrée dans un magasin
Irantzu: En tout cas je l'avais perdue.
Irantzu: Mais je ne l'avais pas perdue pour toujours car j'avais son téléphone portable
Ana Li Lou: J'avais un tout petit morceau d'elle dans la main.
Ana Li Lou: Je l'ai caché sans trop y penser dans la poche de mon jean.
Ana Li Lou: Je le sentais près de moi
Ana Li Lou: Et bêtement, je me sentais heureux
Ana Li Lou: en attendant un coup de fil de sa belle demoiselle
Irantzu: Tout à coup je décidai de me donner un rendez-vous avec elle.
Irantzu: Lui rendre son téléphone était la meilleure des excuses
Irantzu: Je cherchai, alors, sur son répertoire le téléphone de sa maison, de sa mère ou sa meilleure amie.
Irantzu: J’avais peur de ne pas lui plaire
Irantzu: et du fait qu’elle se soit déjà engagée avec quelqu’un d’autre.
Irantzu: Une fille tellement belle ne pouvait pas être seule…
Irantzu: mais je devais essayer, quand même.
Ana: Je composai le numéro "maison"
Ana: avec des frissons
Ysabel: repondit la voix d'un garçon
Ysabel: entendis en arrière plan la télévision
Ysabel: et quelqu'un qui commanda une boisson
Ana Li Lou: voulant tout d'abord m'excuser d'utiliser un portable qui ne m'appartenait pas.
Ana Li Lou: De suite, je demandai être en contact avec la propriétaire de l'objet oublié.
Ana Li Lou: Mon cœur battait la chamade
Irantzu: Mais malheureusement, elle n’était pas encore arrivée à la maison
Irantzu: J’expliquai au garçon la raison pour laquelle j’avais besoin de parler avec elle
Irantzu: Alors il me promit de lui transmettre mon message
Irantzu: en même temps qu’il me remercia d’avoir récupéré le portable qu’elle avait oublié
Irantzu: J’attendis 1heure, 2heures, 3heures… que le téléphone sonne
Irantzu: Mon cœur battait très vite
Irantzu: J’avais tellement hâte de parler avec elle…
Irantzu: mais tellement peur, en même temps…
Irantzu: Finalement le téléphone sonna
Irantzu: c’était elle
Irantzu: Elle me proposa de nous donner rendez-vous dans un café dans les Champs-Elysées
Irantzu: J’acceptai enchanté
Ana: Vendredi, 18h, l'heure de vérité
Ana: Enchanté, je l'étais... mais aussi (j'avoue)... angoissé!
Irantzu: puisque je ne savais pas si j’allais lui plaire.
Irantzu: J’arrivai au café 20 minutes en avance
Irantzu: je ne pouvais pas attendre plus
Irantzu: je ne pensais qu’à elle depuis le moment où je l’avais rencontrée pour la première fois dans le bar,
Irantzu: je ne connaissais même pas son prénom.
Irantzu: Mais si cela durait encore une journée de plus
Irantzu: j’allais péter un câble, j’allais devenir fou,
Irantzu: je le sentais…
Irantzu: Elle était si belle, si parfaite…
Irantzu: Ce rdv était décisif.
Irantzu: Je voulais savoir si ce coup de foudre
Irantzu: que j’avais senti la première fois
Irantzu: voulait vraiment dire quelque chose
Irantzu: ou si je devais l’oublier pour toujours.
Irantzu: Vers 17h55 elle arriva.
Irantzu: Elle était ravissante.
Isabel: "on s’assoit?", elle demanda
Isabel: j’acquiesçai, pas sans difficultés
Isabel: "café au lait, s’il vous plaît", elle commanda
Isabel: "tilleul pour moi, s’il vous plaît", j’ajoutai
Isabel: je m’armai de courage et l’interpellai
Isabel: "est-il trop indiscret de vous demander
Isabel: qu’est-ce que vous tapiez l’autre jour si concentrée?"
Isabel: "ce sont mes mémoires", elle répondit
Isabel: "comment, vos mémoires??", je fus surpris
Isabel: "vous êtes encore trop jeune…", je lui dis
Isabel: elle baissa sa tête, sans rien dire
Isabel: j’était confus, j’avalai ma salive
Isabel: et, soudain, je vis, furtive
Isabel: une larme glissant au long de sa joue,
Isabel: et à cet instant je crus devenir fou
Isabel: mon cœur emballé donna un coup de frein
Isabel: pour se briser en mille morceaux dans mon sein
Isabel: dedans moi, je me noyai dans ma fange,
Isabel: "comment ai-je pu faire pleurer cet ange?"
Isabel: un silence de mort suivit,
Isabel: puis, "je suis très malade", elle dit
Isabel: fort et clair, en fixant sur mes yeux
Isabel: son regard douloureux
Isabel: je ne demandai rien
Isabel: je ne dis rien
Isabel: je frôlai, je ne sais pas pourquoi,
Isabel: sa joue humide avec les bouts de mes doigts.
Isabel: Je passai tellement de nuits comme ça
Isabel: à caresser sa peau,
Isabel: à emmêler ses cheveux,
Isabel: à écouter son haleine,
Isabel: à calmer ses peines,
Isabel: à rien pouvoir faire, finalement,
Isabel: que veiller ses battements,
Isabel: que veiller ses délires,
Isabel: que veiller ses soupires,
Isabel: que veiller sa pâleur,
Isabel: que veiller ses douleurs,
Isabel: que veiller sa veille,
Isabel: que chuchoter à son oreille:
Isabel: "je t'aime, je t’aime, je t’aime, je t’aime…"
Isabel: que m’accrocher à son corps
Isabel: qui me quittait lentement,
Isabel: si absurdement,
Isabel: si cruellement,
Isabel: si inexorablement.
Isabel: Aujourd’hui, finalement, huit ans après
Isabel: ses «Mémoires d’une malade maudite» ont été publiées.
Isabel: Sur la première page, des humbles mots abandonnés :
Isabel: "Dédié à toi, le seul qui a osé m’aimer"


PS : Je sais qu’un jour, le manuscrit de la fin originale sera vendu aux enchères chez Christie’s 8-)


Isabel

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Ça me fait rire à chaque fois que je le lis.

Corrigé, quelques petites erreurs, pas grand-chose, bravo à... toutes ;-)

Ana

mardi 13 avril 2010

jeudi 8 avril 2010

Coucou!!!!

Est-ce que vous avez passé de bonnes vacances ?
Je suis allée à Paris, et j’ai vu un café qui m’a fait penser à vous tous!!! mdr !! ;-) Je l’ai pris en photo pour pouvoir vous le montrer. Le voilà !!




Irantzu